Acheter moins cher à Brest reste possible même si la ville est prisée par bon nombre d’individus. Voici quelques astuces qui permettent d’y parvenir. 

Acheter à la bonne saison

Pour accéder aux prix les plus avantageux, l’acquéreur peut entreprendre son projet en hiver. La saison connaît la demande la plus faible de l’année. Cette situation rapporte les valeurs courantes au plus bas sur l’ensemble du marché. De plus, négocier avec les vendeurs est plus facile grâce à la faible concurrence parmi les acheteurs. 

Privilégier les biens les moins recherchés

Certains types de biens sont moins cotés que d’autres. C’est le cas des locaux commerciaux. Ils peuvent être jusqu’à 25 % moins coûteux par rapport aux propriétés à usage d’habitation. En outre, en matière de logement, les rez-de-chaussée sont 30 % plus abordables en comparaison aux appartements situés à un étage supérieur.  

Opter pour un bien avec travaux

Sur un bien à rénover, le coût des travaux doit être déduit de sa valeur en état. Plus il y aura de défauts à réparer, plus le prix de vente de la propriété sera réduit. Acquérir ce type de propriété revient donc moins cher qu’à l’achat d’un bien impeccable. Il convient toutefois de rester prudent, car certaines anomalies peuvent être contraignantes, notamment en dépenses. 

Chercher dans les quartiers les moins chers

À Brest comme ailleurs, les prix immobiliers varient d’un quartier à un autre. Certains secteurs restent abordables. Sur les sept quartiers qui composent la ville, Bellevue et Europeles sont les moins chers. En revanche, ceux qui affichent les montants les plus élevés sont le centre reconstruit, le centre ancien rive gauche et Saint-Marc.

Acheter en viager ou aux enchères

Une transaction en viager évite à l’acheteur de contracter un prêt immobilier. Il peut entreprendre son projet dès qu’il dispose d’une épargne suffisante pour couvrir le montant du bouquet principal. Ensuite, les rentes viagères seront assimilées à un loyer. En outre, acheter un bien aux enchères fait économiser 25 % sur le prix de la propriété qu’en l’acquérant avec la méthode traditionnelle.