Ce qu’il faut savoir sur les diagnostics immobiliers lors d’une vente immobilière à Brest

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Ce qu’il faut savoir sur les diagnostics immobiliers lors d’une vente immobilière à Brest

Vous n’êtes pas sans savoir qu’en tant que propriétaire-vendeur, l’une de vos obligations établit la réalisation des diagnostics immobiliers sur le bien mis en jeu. En quoi consistent concrètement ces examens ? Quand et qui peut les entreprendre ? Et pourquoi est-ce utile de les effectuer lors d’une vente immobilière ? Réponses.

Qu’est-ce qu’un diagnostic immobilier ?

C’est un examen opéré sur un élément qui compose un bien immobilier. Il peut s’agir d’un équipement tel que le système électrique. Il peut aussi être question d’une caractéristique liée à la zone où la propriété est implantée comme son exposition aux catastrophes naturelles. Dans un cas comme dans l’autre, le diagnostic doit révéler les éventuelles anomalies ou vices de conformité à déplorer au niveau du bien. Pour cause, ils peuvent présenter un danger pour la sécurité et la santé de ses résidents, ou pour l’environnement.  

Notez qu’une propriété brestoise doit subir plusieurs diagnostics immobiliers à Brest avant de pouvoir être soumise à la vente. Les examens composent le DDT ou dossier de diagnostics techniques.

À quel moment de la transaction doit-on réaliser le DDT ?

À l’exception du DPE, les autres éléments du DDT doivent être délivrés au plus tard au jour de la signature de l’avant-contrat. Les résultats doivent être à jour en sachant que leur durée de validité varie d’un examen à un autre et peut se compter en mois ou en année. 

Qui est habilité à réaliser le DDT ?

Chaque diagnostic qui compose le DDT doit être effectué par un spécialiste. Le ministère qui se charge du logement met à la disposition du public la liste des diagnostiqueurs certifiés vers qui se tourner. 

Quelle est la portée d’un diagnostic technique dans une vente immobilière ?

Le DDT révèle à l’acheteur l’état véritable du bien qu’il s’apprête à acquérir. Il pourra en évaluer la pertinence de manière réaliste et prendre sa décision en connaissance de cause. Le risque de rétractation de sa part est alors moindre.